When we reach the point when the linguist has as good a theoretical grasp on Universal Grammar as the [bilingual] language learner has an unconscious one, grammar competition will be as easily recognizable to the former as it already is to the latter. Kroch (1994:184), cité par Lightfoot (1999:92)

old_uid566
titleWhen we reach the point when the linguist has as good a theoretical grasp on Universal Grammar as the [bilingual] language learner has an unconscious one, grammar competition will be as easily recognizable to the former as it already is to the latter. Kroch (1994:184), cité par Lightfoot (1999:92)
start_date2006/01/30
schedule09h30-11h
onlineno
summaryEn fait de "concurrence de grammaires", je montrerai des raisons de croire qu'en adoptant un modèle du savoir linquistique fondé sur des exemplaires, et refusant de ce fait la notion de grammaire et celle de langue (de I-language spécifiquement), le problème ne se pose peut-être pas ainsi : le modèle en question se comporte aussi bien dans le cas bilingue que dans le cas monolingue, sans y changer une virgule. Dans la mesure où ce modèle dit quelque chose sur le second (le locuteur bilingue), le premier (le linguiste) doit-il encore courir après "une bonne apréhension théorique de la grammaire universelle" ?
responsiblesNash