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Le paradigme du cinéma d’animation dans le monde complexe de l’art.| old_uid | 4489 |
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| title | Le paradigme du cinéma d’animation dans le monde complexe de l’art. |
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| start_date | 2008/04/01 |
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| schedule | 18h |
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| online | no |
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| summary | Dire que nous vivons à l’ère de l’inflation d’images et de sollicitations audiovisuelles multiples, est un lieu commun.
Contrariée, l’attitude de contemplation, se voit transformée en une attitude de «lecture».
Les œuvres autonomes, se voient transformées en des constituants d’un récit ; un changement d’échelle, qui met à l’évidence la nécessité d’une organisation « textuelle », qu’elle soit synthèse, assemblage, constellation ou autre.
Les grandes expositions thématiques des Arts plastiques (Documenta…) choisissent les œuvres de sorte qu’elles articulent
un (hyper)propos, celui du concepteur de l’exposition. Des œuvres autonomes, on passe au « texte » de l’exposition.
Ailleurs, des artistes choisissent de ne pas créer des œuvres individuelles mais une «œuvre de vie» (je pense à Roman Opalka…)
Le cinéma d’animation, est un art de composition, de synthèse, qui utilise une gamme de matériaux très large.
Sa gamme d’images en mouvement est bien plus étendue que celle de l’autre cinéma, lequel se limite par son désir de l’imitation du réel.
En tant que médium de synthèse multiforme, le cinéma d’animation pourrait constituer – c’est l’hypothèse que je propose d’examiner – un paradigme représentatif dans l’évolution vers le « texte » des arts plastiques. |
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| responsibles | Duong, Kapoula |
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