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Aller de la grammaire philosophique à la psychologie historique. Le parcours méthodologique de Maxime Chastaing| old_uid | 17467 |
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| title | Aller de la grammaire philosophique à la psychologie historique. Le parcours méthodologique de Maxime Chastaing |
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| start_date | 2019/02/21 |
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| schedule | 17h-19h |
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| online | no |
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| location_info | salle 6 |
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| summary | En 1959, Maxime Chastaing confiait à son lecteur sa « méthode d’entraînement » : « partir des Philosophical investigations de L. Wittgenstein pour aller à la thèse d’I. Meyerson, Les fonctions psychologiques et les œuvres » (« Jouer n’est pas jouer », Les Autres comme soi-même. Le faux problème de la connaissance d’autrui, Paris, Classiques-Garnier, 2016, p. 192). Pour être tout à fait complet, il faudrait préciser que Chastaing était parti de la phénoménologie, ayant été un des premiers en France à mettre au travail les Méditations cartésiennes de E. Husserl dans un mémoire inédit de 1934 (La Compréhension d’autrui. Essai de psychologie descriptive, Paris, Le Cerf, 2017). Mais alors que ses contemporains partaient de la psychologie française de l’entre-deux-guerres ou de l’après-Seconde guerre mondiale, pour se rallier successivement à Husserl et à Wittgenstein, lui-même n’a cessé d’affirmer qu’il fallait aller ou revenir à la psychologie, en particulier à une forme particulière de psychologie qu’il nomme aussi bien historique que génétique, et qui engage une approche originale du sens des œuvres humaines. Nous reviendrons sur le parcours méthodologique singulier de Chastaing et rendrons compte de la théorie des formes symboliques qu’il implique. |
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| responsibles | Lassègue |
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