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Retour sur les verbes parenthétiques| title | Retour sur les verbes parenthétiques |
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| start_date | 2023/04/18 |
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| schedule | 10h30-12h |
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| online | no |
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| visio | https://www.gotomeet.me/visio-lattice |
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| location_info | salle 510 & en visioconférence via gotomeet |
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| details | Hybride |
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| summary | Urmson (1952) et Thompson et Mulac (1991), pour l’anglais, Schneider (2007) pour les langues romanes, Blanche-Benveniste (1989) et Blanche-Benveniste et Willems (2007), jusqu’à la thèse récente de Ferreira (2022), pour le français, se sont intéressés aux verbes comme croire, penser, pouvant apparaitre soit en position initiale suivie d’une proposition subordonnée complétive (avec omission possible, voire fréquente, du subordonnant), soit en position finale ou incise, incident à la proposition « hôte » (je crois qu’il fait beau ; il fait beau, je crois). Ces réalisations interrogent les notions de complémentation et de rection, et plus largement de l’intégration des constituants phrastiques et, à partir de là, posent la question de la frontière entre la phrase et le discours. Dans notre communication, nous reviendrons sur le parcours diachronique de ces constructions verbales en tirant un bilan de nos précédents travaux (Glikman 2012, Schneider et Glikman 2015, Glikman et Schneider 2018). Nous élargirons l’étude aux réalisations contemporaines de ces verbes dans le corpus Les Vocaux (Glikman et Fauth 2022), et interrogerons le rapport de ces constructions avec les autres constructions propositionnelles non régies traitées traditionnellement comme des marqueurs de discours propositionnels (type tu sais). |
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| responsibles | Sarda |
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Workflow history| from state (1) | to state | comment | date |
| submitted | published | | 2023/04/13 12:35 UTC |
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